No limit

Publié le 7 avril 2018
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Comme beaucoup de ses co-équipiers de WB-Aqua Protect-Veranclassic, Alex Kirsch découvre Paris-Roubaix. Le coureur luxembourgeois, qui arrive au bout d’une période de classiques réussie, a profité des reconnaissances de pavés du Nord pour assimiler la technique à adopter dans l’Enfer. Il conduira ses troupes le plus loin possible  dans les tranchées nordistes.
Alex Kirsch. « Je n’ai que très peu de repères sur Paris-Roubaix qui est une nouvelle course pour moi. Je connaissais quelques secteurs principaux pour les avoir vus la télé. Les reconnaissances ont donc été très utiles. Il y a des secteurs qui sont semblables mais il y en a d’autres qu’il fallait absolument découvrir, des secteurs très lents et très compliqués vers la fin. Le test du matériel était aussi très important, tout autant que le feeling sur les pavés. En Flandre, les pavés sont en côte, dans le Nord, ils sont plats et très souvent longs. L’effort est donc différent et il fallait habituer le corps à cela. Je pense que nous pouvons envisager notre premier Paris-Roubaix de façon sereine. Je suis personnellement content de ma saison des classiques et je vais découvrir cette nouvelle course avec envie et ambition. La condition est bonne, j’ai bien récupéré et je suis resté très focalisé. Paris-Roubaix est une course de fous, tout peut s’y passer, il n’y a  aucune limite.

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